C’est l’histoire d’un artiste Rwandais en France. Né le 6 août 1982 à Bujumbura (Burundi), est un auteur-compositeur-interprète, rappeur, poète et écrivain franco-rwandais qui n’était pas vraiment convaincu de la capacité de nuisance du nouveau coronavirus.

« À ce moment-là, on emmenait encore les enfants à l’école, on gardait une vie normale. Comme beaucoup de gens, je pensais que ce n’était pas plus grave qu’une grippe saisonnière et que ça affectait surtout les personnes âgées » raconte-t-il à JeuneAfrique. L’artiste révèle avoir continué comme son entourage, continué à mener ses activités habituelles. Gaël dit avoir même eu à assurer une journée de promotion avec une cinquantaine de journalistes où il a serré les mains sans trop se soucier de la distanciation sociale.

C’est à partir du 13 mars que le jeune commence à sentir et soupçonner les symptômes pour rapidement se mettre en quarantaine.  « J’ai eu une vraie sensation d’étouffement, je n’arrivais plus à respirer, je sentais une très grande chaleur dans ma poitrine. » C’était le 17 mars où il dû faire appel à un médecin qui lui prescrit des antibiotiques, soulageant ainsi ses stress respiratoires. «Avant, je ne pouvais pas inspirer plus de trois secondes, j’avais le sentiment que mes poumons étaient à moitié remplis d’eau » a-t-il précisé.

Le Franco-Rwandais a connu une meilleure santé 15 jours après, mais a préféré se porter un masque pour protéger ses proches même.

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