Fort de sa signature chez Universal Music Africa, Singuila revient avec l’album « Docteur Love ». Avec des extraits à succès comme « Les Gars », « La femme de quelqu’un », « Belle » ou encore « L’amour ne suffit pas », ce cinquième album studio s’annonce comme l’un des événements de l’année.
Un retour attendu à la hauteur du statut de ce Monsieur de la musique urbaine et afro urbaine.
D’origine congolaise et centrafricaine, Singuila grandit à Suresnes, en banlieue parisienne.
En 1998, il devient le premier artiste R&B du prestigieux label secteur Ä.
Après plusieurs collaborations, il sort son premier album en 2003 « On ne vit qu’une fois », avec la participation de Jacky des Neg Marron et de Lino dÄrsenic. Son opus a pour thème les relations humaines, amoureuses, le tout écrit avec un regard décalé (voire espiègle et cru) et un « parler-vrai » qui deviendront sa marque de fabrique, et le positionneront comme un auteur-compositeur à part.
Si le premier single « Ma conscience » remporte un franc succès, c’est le morceau « C’est trop » qui révèle Singuila au grand public, avec plus de 200 000 exemplaires vendus.
L’ascension de l’artiste se poursuit lorsqu’il enregistre le duo avec la chanteuse anglaise Jamelia sur le morceau « Thank you ».
Retour gagnant en août 2006 avec « Ghettos compositeurs » qui comprend les singles « Le temps passe trop vite » et « Ma nature ».
Par la suite, Singuila entame une tournée mondiale, avec notamment un passage en Afrique où il y rencontre des musiciens majeurs du continent tels que Lokua Kanza, Papa Wemba ou encore Mory Kante.
Également parolier pour d’autres artistes de la scène française, il compte à son actif les morceaux « Je veux que tu mentes » de Lynsha ou encore le classique « Il avait les mots » de Sheryfa Luna.
En 2010, le single « Reviens je t’en prie », précédé du duo avec le chanteur Marc-Antoine « J’suis K.O » marquent le retour de Singuila sur la scène R&B française. Il enchainera ensuite avec une nouvelle tournée mondiale, et un ensemble de titres à succès tels que « Ça fait mal » ou encore « J’ai le sang chaud ».
Mais c’est en 2016, que sa carrière prendra un tournant avec le classique « Rossignol », titre sur lequel il renoue avec les sonorités de son continent d’origine. S’enchaîneront ensuite les cartons entre 2017 et 2018 « Ay Mama » et « Faut pas me toucher » qui confirment ce nouvel élan artistique.