La libido, de quoi s’agit-il ?

La libido ou le désir sexuel est l’envie de s’adonner à une activité sexuelle. Elle peut survenir spontanément ou en réponse à un partenaire, des images ou des pensées.

L’intensité du désir dépend de différents facteurs tels que la qualité de la relation de couple, la santé physique, l’état psychologique ou des événements qui jalonnent la vie notamment la grossesse,  le deuil, le stress au travail, etc. Que devons-nous savoir?

La libido est propre à chaque individu. Chacun peut éprouver plus ou moins de désir. Ce qui est très important, c’est qu’il n’y a pas de libido dite normal: Si on vit avec quelqu’un qui a le même rythme, on est heureux; et si les deux partenaires ont des rythmes différents, ça peut poser problème.

La libido peut varier selon les individus, ou, chez une même personne, selon les périodes de la vie. Le déclin du désir, ou baisse de libido, entraîne une diminution ou une perte totale d’intérêt pour la sexualité.

Baisse de la libido: Causes et Solutions

La baisse du désir sexuel fait partie des différentes dysfonctions sexuelles que peuvent rencontrer l’homme et la femme à tout moment de leur vie. Quand l’envie fait défaut et que cette situation perdure, cela peut révéler des problèmes plus profonds.

Une baisse de libido devient problématique lorsqu’elle inquiète la personne ou son partenaire et affecte la relation amoureuse. Toutefois, cet état n’affecte pas toujours la capacité d’avoir des relations sexuelles.

Les Causes de la baisse de la libido

Le désir sexuel est une interaction complexe de plusieurs facteurs, incluant le bien-être physique et émotionnel, les expériences de vie, le rythme de vie et les relations intimes.

Une baisse de désir sexuel peut être due à:

Des causes physiques:

  • Un problème d’ordre sexuel: Des douleurs durant les relations sexuelles ou une inaptitude à atteindre l’orgasme.
  • Une maladie: Plusieurs maladies peuvent affecter le désir sexuel, par exemple l’arthrite, le cancer, le diabète, l’hypertension , une dépression ou des maladies neurologiques.
  • Les effets d’un médicament: Plusieurs médicaments, tels que certains antidépresseurs diminuent souvent le désir sexuel.

D’autres médicaments pour le traitement des problèmes de la prostate ou de la perte de cheveux, ou encore pour réguler la pression artérielle peuvent affecter la libido.

Conseil: Toujours vérifier les effets indésirables de vos produits avant de les prendre.

  • Une chirurgie: Les chirurgies reliées aux seins ou aux organes génitaux peuvent affecter l’image de soi, la fonction sexuelle et le désir sexuel.
  • L’alcool/la drogue: Un abus d’alcool ou de certaines drogues peuvent affecter la libido.
  • La fatigue: L’excès de fatigue causé entre autres par le soin apporté à des parents âgés ou à des jeunes enfants peuvent affecter le désir sexuel.
  • L’irrégularité des rapports sexuels

Si on n’a plus de relations sexuelles depuis un long moment, notre corps n’est plus habitué à réagir. On l’a laissé s’endormir, voire s’éteindre. Les organes sexuels ne fonctionnent que si l’on s’occupe d’eux ! On peut perdre l’habitude de faire l’amour, bref l’appétit sexuel.

  • La baisse de la passion

Elle intervient chez un certain nombre de couples au fil des années. C’est une raison fréquemment évoquée pour expliquer la diminution du désir. La routine, des attentes mal ou jamais exprimées, peuvent engendrer une baisse du désir. Un mode de vie stressant, une charge de travail importante, la multiplication des activités familiales ou sportives… peuvent peu à peu entraîner un manque de temps à consacrer à la sexualité.

Des changements hormonaux :

  • La ménopause

Durant la transition vers la ménopause, les niveaux d’œstrogène des femmes chutent. Cela peut provoquer une sécheresse vaginale, donc des relations sexuelles douloureuses ou inconfortables pouvant être à l’origine d’un évitement des relations sexuelles. En revanche, si après la ménopause, les ovaires secrètent très peu d’œstrogènes, ils continuent à secréter des quantités relativement importantes d’androgènes (testostérone…) ce qui explique parfois l’apparition de quelques poils disgracieux sur le visage à cet âge. Néanmoins, ce taux d’androgènes devient moins élevé qu’avant la ménopause, ce qui peut entrer en compte dans une diminution de désir sexuel.

  • La grossesse et l’allaitement

Les changements hormonaux durant la grossesse, de même qu’après l’accouchement et l’allaitement peuvent affecter le désir sexuel. Non seulement les hormones, mais la fatigue, les changements corporels et le stress engendré par la naissance d’un nouveau bébé peuvent affecter le désir sexuel.

  • La prolactine

Une élévation anormale de la prolactine ( hormone responsable, entre autres, du déclanchement et du maintient de la lactation) bloque le désir sexuel.

  • Un faible taux de testostérone

Chez les hommes, la testostérone est produite dans les testicules. Cette hormone est essentielle au maintient de la densité osseuse, de la distribution des graisses, de la masse musculaire, de la production de globules rouges, de la production de spermatozoïdes et du désir sexuel.

Avec l’âge, la testostérone diminue graduellement d’environ 1% par an après l’âge de 30 ans. Parfois, la testostérone peut diminuer de manière très importante avec l’âge: c’est un déficit Androgénique lié à l’âge.

Une baisse de testostérone peut également  être due à une maladie.

  • La pilule contraceptive

La prise de la pilule contraceptive a tendance à faire diminuer la libido chez 20 à 40 % des femmes, parce qu’elle diminue la quantité de testostérone circulant dans le sang chez les femmes.

Des causes psychologiques émotionnelles ou physiologiques.

En effet, une maladie, ou d’autres événements traumatisants peuvent influer sur le psychisme. L’énergie vitale est touchée, la victime se met en retrait de son corps. Il est logique qu’il y ait alors une diminution de l’envie sexuelle.

  • Un abus sexuel dans l’enfance;
  • Une dépression;
  • Un stress intense relié à une situation financière ou un travail;
  • Une faible estime de soi;
  • Une relation amoureuse conflictuelle liée entre autres au manque de communication, aux conflits non-résolus, à l’infidélité, au manque de confiance en son partenaire etc.

Le désir sexuel, ou libido, est un état psychologique qui se manifeste par l’envie de s’engager dans un comportement sexuel.

Notons, qu’Il n’existe pas de définition reconnue de ce qui constitue un niveau “normal” de désir sexuel et il est désormais avéré que le comportement sexuel (masturbation, rapports sexuels) n’est qu’un témoin indirect et peu fiable du désir sexuel ressenti.

Ainsi, Il est important de définir si l’on ressent un manque de libido par rapport à une norme théorique que l’on aurait internalisé, par rapport au niveau de désir du ou de la partenaire, par rapport à une autre période de sa vie (ou de sa vie de couple), ou par rapport à un(e) autre partenaire.

Pour certains, le désir sexuel est la première étape du comportement sexuel avant que l’on ne s’engage dans une activité sexuelle.

Elle est suivie de la phase d’excitation, puis, le cas échéant d’une phase d’orgasme et d’une période de résolution pendant laquelle l’orgasme est inaccessible; une période réfractaire que beaucoup de femmes et certains hommes « multi-orgasmiques » ne connaîtraient pas.

Contrairement à ce que croient certains, le fait de se retrouver constamment en situation de désir sexuel réactionnel et donc de n’être jamais l’ initiateur ou l’initiatrice du rapport sexuel ne signifie pas que l’on a un problème de manque de libido.

Cela le devient si, en revanche, on ne parvient plus à éprouver de désir sexuel réactionnel en réponse au désir sexuel spontané de son/sa partenaire initiateur/initiatrice.

Si l’acte sexuel se déroule de façon satisfaisante pour les partenaires, ceci constitue une puissante motivation à renouveler l’acte sexuel une prochaine fois et donc à éprouver à nouveau du désir sexuel spontanément ou de façon réactionnelle. D’où la notion de cycle du désir sexuel.

Il faut souligner que le désir sexuel spontané peut se traduire aussi bien par une envie de sexe solitaire (masturbation) que dyadique (avec un partenaire sexuel) sans qu’un lien évident n’existe entre les deux types d’activité sexuelle.

Le fait que certain(e)s partenaires à plus haut désir sexuel que l’autre utilise la masturbation comme régulateur de leur tension sexuelle ne signifie pas que la masturbation ne nuise au désir sexuel à deux.

De fait, une activité sexuelle avec un partenaire sexuel est parfois le stimulant d’une activité sexuelle solitaire ultérieure. Il est parfois plus facile d’avoir envie de sexe que d’avoir envie de son/sa partenaire et réciproquement.

Quelques solutions contre la baisse de la libido

  • En parler à son partenaire

Il ne faut pas hésiter à évoquer le problème de la baisse de désir. Le/la partenaire reste la personne la plus concernée : il/elle peut également ressentir les mêmes angoisses, les mêmes doutes.

En parler, exprimer ensemble les questionnements de chacun ne pourra qu’être bénéfique pour votre couple.

La connivence émotionnelle est capitale dans un couple. Si les partenaires discutent de ce qui leur plaît, ils se sentent proches, en phase, et le désir vient naturellement.

  • Se surprendre pour maintenir le désir

Il est possible pour un couple de s’épanouir tout au long de sa vie sexuelle. Pour cela, il faut se surprendre, se renouveler, voyager, bousculer des habitudes ancrées dans le quotidien, improviser, jouer, partager, échanger. C’est une harmonie générale.

Il faut être en phase avec soi même et avec l’autre, avec la progression de l’excitation chez l’un et chez l’autre… De cette manière, les choses peuvent se dérouler favorablement. Une fois que le corps fonctionne bien, il continue normalement à bien fonctionner. Il faut donc éviter de faire des arrêts, car cela peut être problématique au bout d’un moment.

  • Consulter un médecin

Si la perte du désir entraîne une souffrance, on peut consulter un médecin, en particulier un sexologue.

Apprendre l’auto-hypnose peut aussi aider à mieux gérer son propre corps. Cet exercice qui peut paraître loin de la sexualité permet en fait d’être au plus près de ses émotions, or le plaisir est une émotion. Quelque chose de physique, mais aussi d’émotionnel. Et quand les deux sont présents, le plaisir est bien plus complet. Le manque de désir touche de nombreuses personnes, plus ou moins souvent au cours de leur vie. Inutile de s’inquiéter si cela ne vous pose pas de problème.

La libido ou le désir sexuel est l’envie de s’adonner à une activité sexuelle. Elle peut survenir spontanément ou en réponse à un partenaire, des images ou des pensées.

L’intensité du désir dépend de différents facteurs tels que la qualité de la relation de couple, la santé physique, l’état psychologique ou des événements qui jalonnent la vie notamment la grossesse,  le deuil, le stress au travail, etc. Que devons-nous savoir?

La libido est propre à chaque individu. Chacun peut éprouver plus ou moins de désir. Ce qui est très important, c’est qu’il n’y a pas de libido dite normal: Si on vit avec quelqu’un qui a le même rythme, on est heureux; et si les deux partenaires ont des rythmes différents, ça peut poser problème.

La libido peut varier selon les individus, ou, chez une même personne, selon les périodes de la vie. Le déclin du désir, ou baisse de libido, entraîne une diminution ou une perte totale d’intérêt pour la sexualité.

Baisse de la libido: Causes et Solutions

La baisse du désir sexuel fait partie des différentes dysfonctions sexuelles que peuvent rencontrer l’homme et la femme à tout moment de leur vie. Quand l’envie fait défaut et que cette situation perdure, cela peut révéler des problèmes plus profonds.

Une baisse de libido devient problématique lorsqu’elle inquiète la personne ou son partenaire et affecte la relation amoureuse. Toutefois, cet état n’affecte pas toujours la capacité d’avoir des relations sexuelles.

Les Causes

Le désir sexuel est une interaction complexe de plusieurs facteurs, incluant le bien-être physique et émotionnel, les expériences de vie, le rythme de vie et les relations intimes.

Une baisse de désir sexuel peut être due à:

Des causes physiques:

  • Un problème d’ordre sexuel: Des douleurs durant les relations sexuelles ou une inaptitude à atteindre l’orgasme.
  • Une maladie: Plusieurs maladies peuvent affecter le désir sexuel, par exemple l’arthrite, le cancer, le diabète, l’hypertension , une dépression ou des maladies neurologiques.
  • Les effets d’un médicament: Plusieurs médicaments, tels que certains antidépresseurs diminuent souvent le désir sexuel.

D’autres médicaments pour le traitement des problèmes de la prostate ou de la perte de cheveux, ou encore pour réguler la pression artérielle peuvent affecter la libido.

Conseil: Toujours vérifier les effets indésirables de vos produits avant de les prendre.

  • Une chirurgie: Les chirurgies reliées aux seins ou aux organes génitaux peuvent affecter l’image de soi, la fonction sexuelle et le désir sexuel.
  • L’alcool/la drogue: Un abus d’alcool ou de certaines drogues peuvent affecter la libido.
  • La fatigue: L’excès de fatigue causé entre autres par le soin apporté à des parents âgés ou à des jeunes enfants peuvent affecter le désir sexuel.
  • L’irrégularité des rapports sexuels

Si on n’a plus de relations sexuelles depuis un long moment, notre corps n’est plus habitué à réagir. On l’a laissé s’endormir, voire s’éteindre. Les organes sexuels ne fonctionnent que si l’on s’occupe d’eux ! On peut perdre l’habitude de faire l’amour, bref l’appétit sexuel.

  • La baisse de la passion

Elle intervient chez un certain nombre de couples au fil des années. C’est une raison fréquemment évoquée pour expliquer la diminution du désir. La routine, des attentes mal ou jamais exprimées, peuvent engendrer une baisse du désir. Un mode de vie stressant, une charge de travail importante, la multiplication des activités familiales ou sportives… peuvent peu à peu entraîner un manque de temps à consacrer à la sexualité.

Des changements hormonaux :

  • La ménopause

Durant la transition vers la ménopause, les niveaux d’œstrogène des femmes chutent. Cela peut provoquer une sécheresse vaginale, donc des relations sexuelles douloureuses ou inconfortables pouvant être à l’origine d’un évitement des relations sexuelles. En revanche, si après la ménopause, les ovaires secrètent très peu d’œstrogènes, ils continuent à secréter des quantités relativement importantes d’androgènes (testostérone…) ce qui explique parfois l’apparition de quelques poils disgracieux sur le visage à cet âge. Néanmoins, ce taux d’androgènes devient moins élevé qu’avant la ménopause, ce qui peut entrer en compte dans une diminution de désir sexuel.

  • La grossesse et l’allaitement

Les changements hormonaux durant la grossesse, de même qu’après l’accouchement et l’allaitement peuvent affecter le désir sexuel. Non seulement les hormones, mais la fatigue, les changements corporels et le stress engendré par la naissance d’un nouveau bébé peuvent affecter le désir sexuel.

  • La prolactine

Une élévation anormale de la prolactine ( hormone responsable, entre autres, du déclanchement et du maintient de la lactation) bloque le désir sexuel.

  • Un faible taux de testostérone

Chez les hommes, la testostérone est produite dans les testicules. Cette hormone est essentielle au maintient de la densité osseuse, de la distribution des graisses, de la masse musculaire, de la production de globules rouges, de la production de spermatozoïdes et du désir sexuel.

Avec l’âge, la testostérone diminue graduellement d’environ 1% par an après l’âge de 30 ans. Parfois, la testostérone peut diminuer de manière très importante avec l’âge: c’est un déficit Androgénique lié à l’âge.

Une baisse de testostérone peut également  être due à une maladie.

  • La pilule contraceptive

La prise de la pilule contraceptive a tendance à faire diminuer la libido chez 20 à 40 % des femmes, parce qu’elle diminue la quantité de testostérone circulant dans le sang chez les femmes.

Des causes psychologiques émotionnelles ou physiologiques.

En effet, une maladie, ou d’autres événements traumatisants peuvent influer sur le psychisme. L’énergie vitale est touchée, la victime se met en retrait de son corps. Il est logique qu’il y ait alors une diminution de l’envie sexuelle.

  • Un abus sexuel dans l’enfance;
  • Une dépression;
  • Un stress intense relié à une situation financière ou un travail;
  • Une faible estime de soi;
  • Une relation amoureuse conflictuelle liée entre autres au manque de communication, aux conflits non-résolus, à l’infidélité, au manque de confiance en son partenaire etc.

Le désir sexuel, ou libido, est un état psychologique qui se manifeste par l’envie de s’engager dans un comportement sexuel.

Notons, qu’Il n’existe pas de définition reconnue de ce qui constitue un niveau “normal” de désir sexuel et il est désormais avéré que le comportement sexuel (masturbation, rapports sexuels) n’est qu’un témoin indirect et peu fiable du désir sexuel ressenti.

Ainsi, Il est important de définir si l’on ressent un manque de libido par rapport à une norme théorique que l’on aurait internalisé, par rapport au niveau de désir du ou de la partenaire, par rapport à une autre période de sa vie (ou de sa vie de couple), ou par rapport à un(e) autre partenaire.

Pour certains, le désir sexuel est la première étape du comportement sexuel avant que l’on ne s’engage dans une activité sexuelle.

Elle est suivie de la phase d’excitation, puis, le cas échéant d’une phase d’orgasme et d’une période de résolution pendant laquelle l’orgasme est inaccessible; une période réfractaire que beaucoup de femmes et certains hommes « multi-orgasmiques » ne connaîtraient pas.

Contrairement à ce que croient certains, le fait de se retrouver constamment en situation de désir sexuel réactionnel et donc de n’être jamais l’ initiateur ou l’initiatrice du rapport sexuel ne signifie pas que l’on a un problème de manque de libido.

Cela le devient si, en revanche, on ne parvient plus à éprouver de désir sexuel réactionnel en réponse au désir sexuel spontané de son/sa partenaire initiateur/initiatrice.

Si l’acte sexuel se déroule de façon satisfaisante pour les partenaires, ceci constitue une puissante motivation à renouveler l’acte sexuel une prochaine fois et donc à éprouver à nouveau du désir sexuel spontanément ou de façon réactionnelle. D’où la notion de cycle du désir sexuel.

Il faut souligner que le désir sexuel spontané peut se traduire aussi bien par une envie de sexe solitaire (masturbation) que dyadique (avec un partenaire sexuel) sans qu’un lien évident n’existe entre les deux types d’activité sexuelle.

Le fait que certain(e)s partenaires à plus haut désir sexuel que l’autre utilise la masturbation comme régulateur de leur tension sexuelle ne signifie pas que la masturbation ne nuise au désir sexuel à deux.

De fait, une activité sexuelle avec un partenaire sexuel est parfois le stimulant d’une activité sexuelle solitaire ultérieure. Il est parfois plus facile d’avoir envie de sexe que d’avoir envie de son/sa partenaire et réciproquement.

Quelques solutions!

  • En parler à son partenaire

Il ne faut pas hésiter à évoquer le problème de la baisse de désir. Le/la partenaire reste la personne la plus concernée : il/elle peut également ressentir les mêmes angoisses, les mêmes doutes.

En parler, exprimer ensemble les questionnements de chacun ne pourra qu’être bénéfique pour votre couple.

La connivence émotionnelle est capitale dans un couple. Si les partenaires discutent de ce qui leur plaît, ils se sentent proches, en phase, et le désir vient naturellement.

  • Se surprendre pour maintenir le désir

Il est possible pour un couple de s’épanouir tout au long de sa vie sexuelle. Pour cela, il faut se surprendre, se renouveler, voyager, bousculer des habitudes ancrées dans le quotidien, improviser, jouer, partager, échanger. C’est une harmonie générale.

Il faut être en phase avec soi même et avec l’autre, avec la progression de l’excitation chez l’un et chez l’autre… De cette manière, les choses peuvent se dérouler favorablement. Une fois que le corps fonctionne bien, il continue normalement à bien fonctionner. Il faut donc éviter de faire des arrêts, car cela peut être problématique au bout d’un moment.

  • Consulter un médecin

Si la perte du désir entraîne une souffrance, on peut consulter un médecin, en particulier un sexologue.

Apprendre l’auto-hypnose peut aussi aider à mieux gérer son propre corps. Cet exercice qui peut paraître loin de la sexualité permet en fait d’être au plus près de ses émotions, or le plaisir est une émotion. Quelque chose de physique, mais aussi d’émotionnel. Et quand les deux sont présents, le plaisir est bien plus complet. Le manque de désir touche de nombreuses personnes, plus ou moins souvent au cours de leur vie. Inutile de s’inquiéter si cela ne vous pose pas de problème.

Edith DAK

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